Parcours
Parcours lévinassien
Parcours axiologique
Parcours cartésien
Parcours hellénique
Parcours ricordien
Parcours spinoziste
Parcours habermassien
Parcours deleuzien
Parcours bergsonien
Parcours augustinien Parcours braguien
Glossématique
Synthèses
Ouvrages publiés Suivi des progrès aux USA
Parcours psychophysique
L'art et la science
Parcours nietzschéen
Philosophies médiévales Autres perspectives
Archéologie Economie
Sciences politiques
Sociologie
Poésie
Théologie 1
Théologie 2
Théologie 3
Psychanalyse générale
Points dhistoire revisités
Edification morale par les fables
Histoire
Phénoménologie
Philosophie et science
Mises à jour du site
03/07//2016 ajout :
16/06//2016 ajout :
01/06//2016 ajout :
15/05//2016 ajout :
01/05//2016 ajout :
10/04//2016 ajout :
02/04//2016 ajout :
24/03//2016 ajout :
05/03/2016 nouvelle perspective :
09/02/2016 ajout :
09/02/2016 ajout :
24/01//2015 ajout :
03/01/2016 ajout :
26/12//2015 ajout :
Phénoménologie
05/12//2015 ajout : Liens Wikipédia
Visites
visiteurs visiteurs en ligne |
Ouvrages publiés - Présentation
PRÉSENTATION Cette rubrique est destinée à présenter aux internautes les ouvrages publiés dans la dernière décennie par lanimateur du présent site. Ils ont été réalisés par deux éditeurs différents : Résiac dune part, pour les ouvrages à caractère cultuel et Mélibée, dautre part, pour les ouvrages à caractère culturel. Le premier dispose de sa propre base professionnelle de diffusion (resiac.com), le second est affilié à des sociétés spécialisées (Amazon, Chapitre). Resiac.com Saffirmant par un libéralisme éclairé, il a su reconquérir les âmes meurtries et les volontés broyées par tous les actes de la répression révolutionnaire, sans pour autant faire la moindre concession au gallicanisme encore latent. II la fait avec un parfait respect des dogmes dont il sest longuement instruit et par une obéissance exemplaire au chef de lEglise Universelle. Deux points dapplication significatifs se sont imposés simultanément à son esprit : la refondation sur le territoire français de lOrdre des Dominicains, et la défense du droit denseigner librement. Comme le montre ce livre, la tâche savéra pleine dembûches ; elle fut vécue par Lacordaire comme une aventure très surprenante ! Il le rappelle lui-même par ces mots :
« Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre » (Gn. 1,1). Dès ce premier verset le lecteur de la Genèse, sil fait mieux que simplement lire, se voit confronté à une double affirmation sans preuves ! Dieu, en effet ne justifie, par quelque voie métaphysique, ni ce quil fait, ni ce quil est. En livrant dans cette rubrique si simple le secret de son action créatrice, il semble, comme la fait remarquer Etienne Gilson, « que Dieu donne ici aux hommes un de ces mots dénigme longtemps cherchés, dont on est sûr davance quils existent , quon ne trouvera jamais à moins quon ne nous les donne, et lévidence simpose avec une force invincible aussitôt quon nous les a donnés ». Si Dieu est lÊtre et le seul Être, tout ce qui nest pas Dieu ne peut tenir que de lui son existence. « Avant la foi, il faut bien développer la faculté dans laquelle la foi peut se justifier ». Cest ainsi que Jean Guitton définit la philosophie et son objectif. Cet objectif est ainsi de prouver que la foi nest pas irrationnelle, et cest pourquoi la philosophie est indispensable comme une préparation préalable à tout discours théologique. Le système scolaire pour tous nest qu« une instance partielle, commençante et progressive » dans la tâche de léducation et cest la raison pour laquelle chaque chrétien a le droit et même le devoir de poursuivre et de perfectionner son éducation en matière de philosophie, et cest le but de ce livre. Lauteur, qui sest fait connaître par ses livres sur la Sainte Écriture et les Pères de lÉglise, aborde ici les buts de léduction profonde. Il donne accès à des textes de penseurs tels que ceux de saint Thomas dAquin, Jacques Maritain, Henri Bergson, Jean Guitton, Étienne Gilson. Ces textes émanent de lectures quotidiennes qui seront présentes sous forme de questions regroupées par thèmes. Le but poursuivi peut se résumer dans cette formule empruntée à Jacques Maritain : « Moins de faits à enregistrer et plus de joies intellectuelles à éprouver ». Cet ouvrage nous rappelle que léducation de lhomme, si on veut quelle soit solidement et complètement fondée, doit être basée sur lidée chrétienne de lhomme.
Plutôt que de nous poser ex abrupto la question de lexistence de Dieu, il serait plus productif de méditer, comme la fait le très récent Académicien Jean-Luc Marion, sur ce que le philosophe allemand Shelling, éminent penseur de la liberté, nommait « la liberté de Dieu à légard de sa propre existence ». En effet, à partir du moment où on reconnaît en Dieu la Toute-Puissance, il est plus profitable de prendre conscience quil doit avoir sa propre façon dêtre et qui plus est, de pouvoir être éternellement. Dans ce document, le lecteur trouvera que Dieu, comme le rappelle saint Jean (I Jean 4,8) est agapè (amour = charité) et que sa présence nous est garantie dans le temps par le don eucharistique ; ce don consiste en ceci que (lamour quil est) fait corps avec le nôtre. De sorte que si le Verbe (la deuxième personne de la Trinité avant même la Création) se fait corps aussi, sans doute pourrons-nous, en notre propre corps, dire le Verbe en un signe effectif : lamour = la charité. Mise à disposition des documents (par clic gauche) Lien resiac Amazon.fr À voir les réactions que ce mot a suscitées on peut se demander si identité comme le dit Jean-Claude Bourdin « nest pas un mot égarant quil faudrait éviterdemployer. Son usage inflationiste et le consensus qui entoure sa prétendue évidence sont les signes quil relève de lopinion davantage que dun effet de penser ». Les identités, pourtant (tout ce que nous sommes et voulons rester), devraient être bien accueillies par la démocratie. Cest ce que tend à montrer ce livre, quand il vient clarifier les usages qui sont faits de ce mot dans nos différents échanges avec nos concitoyens. Cest par la reconduite de la démocratie à légalité autre mot égarant où lon est toujours tenté de confondre le principe avec le résultat absolu (égalitarisme) que pourront se dissiper les « identités » comme problème purement politique. Tel est lobjectif de « PARLER DIDENTITÉ NATIONALE» où sont proposés au lecteur cinq points de vue prioritaires sur les quels il lui est conseillé de sinformer afin de pouvoir en débattre et aboutir à un maximum de consensus. Ce livre vient suggérer au lecteur de quitter quelques heures ce qui est enfermé en lui dans la case « utilitaire » ou dans la case « science », pour lui permettre dappréhender ces éléments en tant que « ressenti ». Pour les cent cinquante mots que la Terre et la Vie nous confient, le lecteur sera associé, tout au long de louvrage, à leur émergence grâce aux quatre opérations qui, depuis vingt ans, ont été mises à notre disposition par linformatique: recevoir/envoyer, stocker, traiter. Elles sont applicables à toute information ; elles vont être utilisées à partir de notre psychisme. Partir du rêve comme il est fait ici pourquoi ? Parce quil est « doté dune racine pivotante qui descend dans le grand inconscient simple de la vie enfantine primitive (Gaston Bachelard) ». Le temps ne peut rien contre lui. Dans « Les quatre éléments en seize opérateurs dimages » (voir ci-dessus), lauteur a recensé les choses du « chosier », en tant que « valeurs de limagination », telles quelles ont été prises en considération par Bachelard. Dans celui-ci, le lecteur est invité, dans un but pédagogique, à découvrir que « la chose réelle na de puissance poétique que par lintérêt passionné quelle reçoit de larchétype ». La poésie, en effet, se développe dans un espace de similitudes où se manifeste à lenvi limagination créatrice du poète (le codant). Elle nous entraîne dans des situations typiques qui ne sont pas particulières à un individu mais peuvent simposer à tout homme. Avec les images familières, recensées par Bachelard, qui traversent de part en part les archétypes qui nous font rêver (oniriques) telles sont, par exemple, celles qui traversent larchétype du serpent , il est plus aisé de sémouvoir que face à la description courante des choses, fut-elle très complète : tout ce qui, jusquau long discours morbide serpente, nous parle. Et ces images sont dautant plus pénétrantes quelles font appel à la primitivité. Ainsi, entrer en poésie est une manière salutaire de réaliser lunité de soi dans le temps : tout ce qui, aujourdhui, est interdit au Narcisse des Temps modernes qui, comme le dit si bien Robert Redeker, « ne doit son être quaux écrans auxquels il rive son existence ». La mimèsis (conventionnellement traduite par imitation), le fabuliste nous lapprend, est ce désir de la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le buf, et que le poète voit encore dans la violette qui regarde le ciel azuré « jusquà ce que sa couleur devienne ce quelle regarde ». Pour lhomme cest un facteur commun à une pluralité de thèmes ou motifs qui nont cessé de concourir à son édification. Son essor a commencé à intervenir lorsque luvre littéraire et poétique, initiée par les Grecs, a déployé un monde culturel que le lecteur sest approprié. Le lecteur idéal sest trouvé mis en place : « son intelligence, ses émotions épurées, son plaisir, se sont trouvés à la jonction de luvre et de la culture que celle-ci créait ». En dépit de ce grand bienfait, les hommes nont jamais cessé de sopposer sur des objets réels (désir mimétique). Cest ce désir dappropriation, beaucoup plus que de reconnaissance, qui dégénère très vite dans ce que René Girard appelle le désir métaphysique, où le sujet cherche à sapproprier lêtre de son modèle. Je veux alors être ce que devient lautre lorsquil possède tel ou tel objet. Parallèlement à ce désordre généralisé, un pouvoir regénérateur (morphogénétique), dissimulé derrière un texte semble sêtre toujours imposé ; il sagit du bouc émissaire (persécution unanime), dont il ne faut pas confondre le mécanisme avec linculpation hasardeuse (motif) qui vient saper ce pouvoir caché. En définitive, ce n'est pas la violence qui joue le rôle primordial dans la perspective de René Girard ; seule la mimesis tient ce rôle. La violence nest que la continuation du désir mimétique par des moyens brutaux. Le désir dautrui est rendu plus intense par mon ingérence, tout comme son ingérence intensifie le mien. Ce processus de rétroaction positive débouche nécessairement sur une forme de violence, physique ou autre. La solution doit être elle-même purement mimétique, et l'hypothèse du « bouc émissaire » (persécution unanime) répond à cette exigence. Sont décrites successivement : La mimèsis à propos de la création littéraire et poétique La mimèsis à propos de la guerre et du duel La mimèsis à propos du « bouc émissaire » La mimèsis à propos de lhominisation Lapplication de la mimétique au sport de contact quest le football, jusque-là inenvisagée, constitue le thème de lÉpilogue. Les différentes conceptions de la démocratie Comme le rappelle G. Burdeau, « la démocratie nest pas seulement une formule dorganisation politique ou une modalité des rapports sociaux : elle est une valeur. Et cest cette valeur linaliénable vocation des hommes à prendre en charge leur destin, tant individuel que collectif qui constitue lunité profonde de ce que, pour la clarté de lanalyse on appelle les différentes conceptions de la démocratie. Les décrire en les opposant ne servirait à rien, sachant quelles senchaînent les unes aux autres comme autant dincarnations de lidée démocratique qui se fait de plus en plus exigeante au fur et à mesure que ses objectifs sont satisfaits. Certes, cet enrichissement du concept ne va pas sans altération du concept initial ; la démocratie marxiste par exemple semble de prime abord difficilement conciliable avec la démocratie libérale. Mais, en fait, ce qui diffère, cest la méthode utilisée par un gouvernement pour réaliser la démocratie, ce nest pas lattente des hommes qui, dans un camp comme dans lautre, placent en elle lespoir dune vie meilleure. » Tournant le dos à une analyse de la fabrication politique qui insiste sur la dimension agonistique des rapports de classe, des groupes, des collectifs, sest imposée progressivement lidée selon laquelle lesprit de la démocratie est désormais lié à lentente, à la fabrication de consensus. Habermas la mise en évidence en 1981, dans sa théorie de lagir communicationnel. « La prise de parole des citoyens et la communication » qui se manifestent dans le sport sont désormais au centre de lexpérience démocratique.Démocratie et sport (démonstration dun usage public du droit et de la raison) sont solidaires dune manière nouvelle ». Repli de la société actuelle sur le groupe D'après Michel Maffesoli, la société actuelle favorise ce repli et l'approfondissement des relations à l'intérieur de celui-ci. Loin de générer de l'isolement, la modernité offrirait les conditions de « l'être ensemble ». Le concept de « néo-tribalisme » proposé par cet auteur permet alors de caractériser les nouvelles formes de groupements présentes dans la société contemporaine. Face à la notion de tribalisme classique définie par les pères fondateurs, le néo-tribalisme introduit la notion de fusion mobile ou fluide. La morphologie des groupes de la post-modernité est en effet plus instable et plus éparpillée, les rassemblements sont plus éphémères. L'image de la tribu peut alors se déceler dans divers domaines de la vie sociale, le voisinage, la famille, le quartier, les écoles, les mouvements musicaux, idéologiques... Dans un autre registre, Alain Ehrenberg envisage la post-modernité comme une généralisation de la compétition et de la concurrence. Mais au fur et à mesure que la réussite individuelle devient la forme dominante de la participation sociale, on voit apparaître des formes communautaires. Le « néo-communautarisme » exprime le développement de formes d'appartenance communautaires qui sont nourries « par le refus des normes dominantes de réussite (...) ou le sentiment d'être exclu de l'accès à la concurrence » (Ehrenberg, 1991 : 279). Pierre Bouvier dans le cadre d'une « socio-anthropologie du contempo¬rain » observe, quant à lui, l'existence d'« ensembles populationnels cohérents » au cur même de la modernité. On les repère dans la société contemporaine sous « des formes de structures suffisamment décalées, autonomes et productrices de sens » (Bouvier, 1995 : 119). Aucune territorialité spatiale ou temporelle ne les définit. Pourtant les ensembles sont présents dans de nombreux secteurs de la vie quotidienne et peuvent s'articuler autour du productif, du religieux, du politique... La modernité n'a donc pas détruit les communautés d'affiliation primaire, mais elle a transformé leur nature et leur morphologie. Ce n'est donc pas le rétrécissement des réseaux qui mérite ici d'être souligné, mais bien les changements morphologiques, structurels, et logiques des groupes sociaux. Sont décrits successivement : - Ce que le compétiteur entend privilégier - Le savoir caché dans toute activité sociale où le sport performe - Les sports représentatifs des différents affrontements - L'acheminement de la personnalité du compétiteur Le sujet, certes, nest pas nouveau , mais loriginalité de cette édition réside dans la façon de lintroduire et de le traiter. En effet, le domaine microphysique y est abordé à partir de létude des sciences (épistémologie) réalisée de longues années durant par Gaston Bachelard, qui indique clairement à quoi le lecteur doit sattendre en cherchant une représentation de cet infiniment petit quest lATOME : surtout pas à un objet physique isolable mais à la schématisation dune réalité intelligible (noumène) infiniment plus importante. Ce sera donc une configuration de particules élémentaires subatomiques et la description de leur comportement. Cette configuration qui a pris corps à partir des 92 corps simples de la chimie générale sest complexifiée de siècle en siècle à partir du XIXe, au fur et à mesure de lidentification des particules et de lobservation de leurs trajectoires. Ce livre récapitule donc cette genèse corpusculaire et ondulatoire de latome à laquelle a contribué la communauté de physiciens et mathématiciens de haut rang des XIXe et XXe siècles (lindex des auteurs cités en révèle limportance), dabord européenne puis américaine, suite aux méfaits du nazisme et de la Seconde guerre mondiale. Sont rapportés les échanges, parfois tendus mais toujours constructifs, entre les savants de cette époque, qui ont abouti aux réacteurs nucléaires, producteurs dénergie électrique, et à la bombe à fission nucléaire (conclusion urgemment attendue du projet Manhattan à la fin de la Seconde guerre mondiale). Sont détaillées également toutes les options philosophiques qui sont sous-tendues par ces avancées scientifiques. Les annexes présentées ne constituent pas des apartés, mais sont des excroissances du texte principal qui permettent daccéder à des notions essentielles comme lintrication (chat de Schrödinger) et la représentation synthétique de lespace-temps-lumière annoncée par Bachelard. JEAN DE LA FONTAINNE, DANS LE SILLAGE DE SOCRATE Cette revisite de La Fontaine, par certains côtés, savère être une première. Pour nous être évertués à chercher des morales qui, en réalité, nen étaient pas, on navait sans doute pas tiré toutes les leçons que ses Fables recélaient. En effet, ce nest pas la vertu quelles voulaient enseigner, mais la prudence et tout autant le sens quil convenait de donner à nos vies. Voilà donc loriginalité de cet ouvrage qui permet dapporter aux enseignants, voire aux parents, un cadre détaillé pour lacquisition de comportements adéquats et, simultanément, pour une meilleure intelligence de notre langue. Sous le nom de prudence, entre tous ces hyponymes que sont la perspicacité, la circonspection, la vigilance, le réalisme, la clairvoyance, lobjectivité, la sélectivité, la méfiance et la rectitude, est-on toujours capable de bien saisir et de bien montrer les subtilités ? Ces récits versifiés, la preuve en est faite, ont conservé une efficacité qui est allée bien au-delà du siècle où ils sont nés, celui du Roi Soleil. On aurait bien tort, aujourdhui, une fois encore, au nom de la modernité, de passer à côté. Par un seul exemple, dont lopportunité ne saurait échapper, on trouve pourquoi et comment, à leurs enfants, père [Le laboureur] et mère [Lalouette] transmettent différemment. GEORGES BRAQUE, PEINTRE DE LESPACE SON ART EN SYNCHRONIE AVEC LA SCIENCE LArt, les Sciences, la Philosophie, ont toujours fait lobjet dHistoires séparées, sans jamais avoir été replacées dans le contexte de lHistoire Une. Dès lors, cette dichotomie justifie tout effort de rapprochement fait à leur endroit. La célébration du cinquantième anniversaire de la mort de Georges Braque, a été loccasion de développer, dans ce livre, ce que Gaston Bachelard appelait de ses vux, un « concordat » entre lArt et la Science, et que les progrès réalisés par cette dernière permettent de nommer aujourdhui « synchronie ». La rupture dautonomie sest produite à laube du vingtième siècle, lorsque le regard de quelques êtres dexception sest porté, soit vers linvisible Albert Einstein vers linfiniment petit que seul le laboratoire du physicien pouvait révéler , soit vers lespace Georges Braque vers le tactile que seul latelier du peintre permettait de traduire. Sans se concerter, ils ont cependant agi de concert pour créer une nouvelle part de l« univers » : celui de la microphysique pour lun, celui du cubisme pour lautre. Avec eux, et cest là le couronnement de leur art, lobjet sest évanoui au profit de lémergence du sujet, puissance relationnelle sil en est. Ainsi toute discrimination est devenue suspecte pour faire place à lintrication, fruit dune expérience de pensée. La plupart dentre nous savent ce quest laspirine (acide acétylsalicilique). Ce quils savent moins cest que sa fabrication industrielle nest intervenue quen 1899 et quil aura fallu attendre 24 siècles pour obtenir, à partir de la reconnaissance dun principe actif contre la fièvre et la douleur (la saliciline de la feuille de saule), un produit pharmaceutique de grande consommation. La présence dun principe actif ayant été reconnue successivement sur le plan biochimique (phytosynthèse) et sur le plan physique (photosynthèse), lauteur de ce livre sest posé la question de lexistence éventuelle dun principe actif (un certain savoir-faire déterminant) dans le sport dit « mental » par opposition au sport « instrumental ». Appliquant une des recherches pragmatiques préconisées par laméricain Charles S. Peirce ( la « method of tenacity »), il a construit une méthodologie pour faire émerger ce principe de différentes pratiques sportives dont les modèles ont été reconnus depuis peu, à savoir le modèle concurrentiel, le modèle communicationnel, les modèles mimétiques médiat et immédiat. Les résultats obtenus ont été consignés dans la partie didactique de louvrage et concluent à lexistence dun principe actif qui se rapporte aux différents sports princeps étudiés (course à pied-100m, tennis, escrime, rugby, boxe) ; principe actif qui permet de produire des vainqueurs (victusynthèse). Létude conclut à un « faire savoir » pour les sports tels que le tennis, lescrime, le volley-ball, et à trois « savoir faire » différents qui sappliquent aux autres sports de « type mental ». Mise à disposition des documents (par clic gauche) Date de création : 21/03/2011 @ 11:54 Réactions à cet article
|